A propos de notre projet
Aidez nous à soutenir des femmes et des enfants victimes de violences domestiques (psychologiques ou physiques) en situation de précarité économique, qui ne sont pas en mesure de payer certains frais urgents.
par exemple : frais d'un foyer d'accueil d'urgence (90 CHF par nuit et par personne), séances chez des psychologues spécialisés (150 CHF par séance) ou activités extrascolaires pour les enfants (musique, sport etc.)
De quoi traite ce projet?
Cette collecte permettra de payer les frais urgents des victimes de violences domestiques soutenues par l'association L'Espoir de Yana.
Quels sont les buts et le groupe cible?
L'objectif est de récolter de l'argent pour payer des frais
urgents, qui ne sont pas pris en charge par les assurances ou
d'autres institutions.
Le public-cible : toutes les personnes qui nous soutiennent dans la
lutte contre les violences domestiques.
Pourquoi faut-il parrainer votre projet en particulier?
En donnant à notre projet, vous participez à lutter contre toutes les formes de violences domestiques (psychologiques et physiques) que subissent en particulier les femmes.
Que se passe-t-il avec l'argent une fois le financement réuni?
Le fonds d'urgence servira à financer
- les frais pour obtenir un hébergement dans un foyer d'urgence
(90 CHF par nuit)
- les frais pour la consultation de psychologues spécialisés en
violences domestiques pour les victimes et leurs enfants (150 CHF
par séance)
- les frais pour payer des activités extrascolaires aux enfants
qui vivent dans des foyers violents
Minimum de la collecte pour aider une victime
Maximum de la collecte pour aider plusieurs victimes
Qui sont les initiateurs du projet?
L’Association L’Espoir de Yana écoute, accompagne et soutient les victimes de violences domestiques en Valais. Elle se base sur l’histoire vraie de Yana Valença.
L'association prodigue d'abord une écoute pour les victimes qui souhaitent se confier. Cette étape les aide à prendre conscience qu'elles sont victimes de violences psychologiques et physiques, ce qui met parfois des mois, voire des années. L’association accompagne ensuite la victime dans la recherche de solutions concrètes, en expliquant les différentes possibilités sur le plan personnel et judiciaire (plainte, demande de séparation, foyer d'accueil d'urgence etc.), tout en collaborant avec les autres associations et acteurs institutionnels actifs dans la lutte contre les violences domestiques (p. ex. centre LAVI).
